Plus de 8.000 cadres supérieurs, 4.000 ingénieurs, 2.300 enseignants-chercheurs, 1.000 médecins et pharmaciens et 450 informaticiens ont quitté le pays depuis, d’après l’Office des Tunisiens à l’étranger. Tout constat fait, il y a péril en la demeure. La marche entamée par le pays durant plus d’une décennie est suicidaire, à bien des égards. Et les chiffres sont têtus : plus de …